L’Occident prend des mesures draconiennes pour faire taire la liberté d’expression

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Introduction

Depuis des temps immémoriaux, la culture occidentale a chéri la liberté d’expression, la considérant comme un bastion crucial contre les abus du pouvoir centralisé. Cette liberté, fondamentale dans nos sociétés, est aujourd’hui menacée, nous assistons à son érosion progressive et inquiétante.

Imaginez aller dans une prison fédérale pour un mème

Considérez l’incroyable cas de Douglass Mackey, mieux connu sous son pseudonyme Twitter, Ricky Vaughn. Mackey s’est retrouvé derrière les barreaux pour avoir créé des mèmes satiriques ciblant Hillary Clinton lors des élections de 2016. Ces mèmes, conçus pour être humoristiques, encourageaient les gens à voter par SMS, une méthode évidemment non valide. Devant le tribunal, Mackey a plaidé que ses publications étaient purement satiriques, sans intention malveillante. Il a soutenu qu’il ne croyait pas que quelqu’un pourrait sérieusement se laisser duper par de telles absurdités.

Cependant, la réalité a dépassé la fiction : plus de 4 900 personnes ont suivi les instructions de ces mèmes fantaisistes, tentant de voter pour Hillary Clinton par SMS. Cette situation, plutôt cocasse, n’a pas été du goût des autorités fédérales. Jugeant l’acte de Mackey irresponsable et dangereux, elles l’ont condamné à sept mois d’emprisonnement, une peine sévère qui soulève des questions sur la proportionnalité de la justice face à la satire et l’humour.

Ce qui se passe en Irlande est encore pire

Mais ce qui se déroule en Irlande est encore plus préoccupant. En novembre 2022, le gouvernement irlandais a introduit un projet de loi qui, s’il est adopté, représenterait un tournant dans la manière dont la liberté d’expression est perçue et réglementée. Le projet de loi sur la justice pénale de 2022 (incitation à la violence, à la haine ou aux délits haineux) marque un pas de géant vers une législation plus stricte et plus répressive.

L’article 10 (1) (a) du projet de loi est particulièrement alarmant. Selon cette disposition, toute personne qui prépare ou possède du matériel jugé susceptible d’inciter à la violence ou à la haine contre des individus ou des groupes, en raison de leurs caractéristiques protégées ou de tout autre aspect, pourrait être reconnue coupable d’une infraction. Cette formulation vague laisse place à de nombreuses interprétations et ouvre la porte à une application arbitraire, voire abusive, de la loi. Elle crée un climat d’incertitude et de peur, où l’expression libre et ouverte pourrait être entravée par la menace de poursuites judiciaires.

Ces évolutions en Irlande et aux États-Unis posent des questions cruciales sur l’équilibre entre la liberté d’expression et la responsabilité sociale. Dans quelle mesure devons-nous tolérer la satire et l’humour, même lorsqu’ils flirtent avec la désinformation ou l’offense ? Et jusqu’où les gouvernements peuvent-ils aller pour réguler le discours sans étouffer les libertés fondamentales qui sont le pilier de nos démocraties occidentales ?”

Les implications de ces dispositions légales, ambiguës et potentiellement répressives, sont vastes et troublantes. Elles pourraient entraîner des peines de prison sévères et des amendes conséquentes pour des infractions définies de manière floue. Sous cette nouvelle loi, les forces de l’ordre auraient le pouvoir étendu de perquisitionner les domiciles, confisquant des appareils pour rechercher des contenus jugés offensants, y compris des mèmes. Imaginez un monde où posséder un film contenant des blagues jugées offensantes deviendrait un acte criminel. Cela soulève la question : les citoyens irlandais devront-ils se débarrasser de leurs copies de films comme “Hot Shots Part Deux” et “Tropic Thunder” pour éviter d’enfreindre la loi ?

Cette situation, presque surréaliste, n’est pas une simple spéculation. Le projet de loi a déjà fait de grands progrès dans le processus législatif irlandais, malgré une opposition notable du public. Les législateurs irlandais ont été confrontés à une pression croissante de la part de leurs électeurs, beaucoup espérant voir le projet de loi soit considérablement amendé, soit complètement retiré. Cependant, les événements dramatiques survenus à Dublin ont changé la donne.

Le 23 novembre, un événement tragique a secoué la capitale irlandaise. Un homme d’une cinquantaine d’années, originaire d’Algérie et résidant en Irlande depuis plus de deux décennies, a agressé cinq personnes à l’arme blanche, dont trois écoliers, causant de graves blessures. Son parcours violent n’a été interrompu que grâce à l’intervention héroïque d’un livreur brésilien de Deliveroo, qui a maîtrisé l’agresseur avec son casque de vélo, aidant ainsi à sa capture.

Cet acte de violence a déclenché une vague de colère et de désespoir parmi les Dublinois. Environ 500 personnes ont pris part à des émeutes violentes, marquées par des pillages, des actes de vandalisme, et la destruction de véhicules de police. Trente-quatre personnes ont été arrêtées dans les troubles qui ont suivi.

Plutôt que de concentrer son attention sur les attaques au couteau, le Premier ministre irlandais Leo Varadkar a saisi l’occasion pour renforcer son argument en faveur du projet de loi sur le discours de haine. Un jour après les émeutes, il a déclaré publiquement que ces événements tragiques prouvaient la nécessité de mettre à jour les lois irlandaises sur les discours de haine, suggérant que l’adoption du projet de loi était imminente.

Cette réaction du Premier ministre Varadkar a suscité de nombreuses interrogations. En choisissant de lier les émeutes à la nécessité d’une législation plus stricte sur le discours de haine, il a semblé ignorer la complexité et les nuances de la situation, préférant capitaliser sur la crise pour promouvoir un agenda législatif controversé.

Dans un développement surprenant qui semble confirmer les craintes de répression de la liberté d’expression, le célèbre combattant irlandais de MMA, Conor McGregor, a fait l’objet d’une enquête par la Garda (police irlandaise) pour discours de haine en ligne. Cette enquête fait suite à ses critiques envers la réponse du Premier ministre irlandais. Ce cas souligne l’étendue de la surveillance et de la répression potentielles des opinions dissidentes, même celles exprimées par des personnalités publiques influentes.

Pendant ce temps en Nouvelle-Zélande…

La situation en Nouvelle-Zélande offre un autre exemple alarmant. Un administrateur de données gouvernemental, se présentant sous le pseudonyme de Winston Smith, a donné une interview révélatrice à Liz Gunn, avocate devenue journaliste. Il y détaille ses découvertes sur les lots de médicaments administrés en 2021 et 2022, révélant des schémas inquiétants de mortalité liés à certains lots. Cette découverte, suggérant une mortalité anormalement élevée suite à la vaccination dans certains cas, a été assez alarmante pour que Smith (de son vrai nom Barry Young) ressente le devoir moral de partager publiquement ces informations.

Contrairement à ce qu’on pourrait attendre pour un fonctionnaire agissant dans l’intérêt public, Barry Young a été arrêté sous l’accusation d’avoir “accédé à un système informatique à des fins malhonnêtes”, une charge qui soulève des questions sur la liberté d’accès à l’information et la transparence gouvernementale. Bien que les données aient été partagées avec le technologue américain Steve Kirsch, rendant l’information accessible au public, Young a été rapidement discrédité, traité de théoricien du complot et de perturbateur.

L’Occident est en guerre contre la liberté d’expression

Ces événements illustrent une tendance inquiétante dans les sociétés occidentales : la stigmatisation et la répression des voix dissidentes. Les gouvernements semblent de plus en plus disposés à étiqueter toute forme de dissidence politique comme extrémiste ou conspirationniste. Cette approche répressive envers des opinions divergentes ou gênantes est non seulement inquiétante, mais aussi contraire aux principes de liberté d’expression et de débat ouvert qui sont censés être au cœur de nos démocraties.

Il y a cependant de l’espoir

Néanmoins, il est important de garder espoir et de se rappeler que la résistance et la prise de parole courageuse peuvent avoir un impact. Les sites Prepper, par exemple, jouent un rôle crucial en mettant en lumière ces tendances négatives, non pas pour semer la peur, mais pour encourager une vigilance et une préparation accrues. Il est essentiel de ne pas se laisser submerger par le pessimisme, mais plutôt de tirer inspiration et force de ceux qui continuent de lutter pour la vérité et la liberté d’expression.

Conor McGregor, le célèbre combattant irlandais de MMA, a récemment manifesté son intention de devenir président de l’Irlande, démontrant ainsi la montée en puissance des figures populistes telles que Javier Milei. McGregor, espérant unifier les Irlandais pour réformer le paysage politique, reflète une tendance croissante vers des voix plus fortes et plus audacieuses dans le débat public.

En Irlande, des personnalités comme la sénatrice Sharon Keogan prennent également des initiatives audacieuses, telles que des propositions pour réformer le système d’immigration en augmentant les amendes pour les compagnies aériennes négligeant les contrôles. Cette approche proactive montre une volonté de la part des citoyens de s’engager activement dans les processus politiques pour apporter des changements significatifs.

Parallèlement, en Nouvelle-Zélande, la situation de Barry Young, qui a fait des révélations troublantes sur des données médicales, souligne les risques encourus par ceux qui osent défier le statu quo. La réaction du gouvernement néo-zélandais, qui pourrait le condamner à une peine de prison, soulève des questions sur la liberté d’expression et la transparence dans la gestion des informations sensibles.

Si nous sommes réduits au silence, nous ne sommes pas libres

En Amérique du Nord, des tendances similaires émergent. Aux États-Unis, des entités comme l’État du Texas et divers médias conservateurs contestent activement les tentatives de censure en ligne. Cela se reflète également au Canada, où les récents “Convois de la liberté” ont mis en lumière les préoccupations croissantes des Canadiens concernant la liberté d’expression, en particulier en rapport avec les mesures gouvernementales prises pendant la pandémie. Ces événements ont entraîné des débats houleux sur l’équilibre entre la sécurité publique et les libertés individuelles​​​​.

Au Québec, bien que les détails spécifiques soient moins accessibles, il est probable que des débats similaires sur la liberté d’expression et l’ingérence gouvernementale se déroulent, en particulier dans des contextes tels que l’académie et les médias.

Ces exemples à travers le monde occidental révèlent un thème commun : la lutte croissante pour maintenir la liberté d’expression face à des gouvernements de plus en plus enclins à contrôler ou limiter le discours public. Que ce soit en Irlande, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis, au Canada, ou ailleurs, les citoyens se mobilisent pour défendre leurs droits fondamentaux.

Mais qu’en pensez-vous ? La liberté d’expression est-elle menacée dans le monde occidental ? Pourquoi les gouvernements semblent-ils si désireux de réprimer les voix dissidentes ? Et quelles actions pouvons-nous entreprendre pour sauvegarder nos libertés ?

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Professionnel de l'urgence le jour, mais un Preppers, un Citoyen Prévoyant 24/7. Ancien des forces armées parachutistes qui est intervenu sur plusieurs théâtres d'opération dans les années 2000. Finalement devenu Paramédic puis conseiller en mesures d'urgence et planification d'évacuation suite à l'obtention du DESS en Résilience Risque & Catastrophe. Dans mon temps libre j'affronte les éléments dans des situations de survie afin de vous proposer sur ce site des articles et de l'équipement de qualité. N'hésitez pas à me contacter pour vos questions personnelles.

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